Mais le film nous montre aussi, la volonté des femmes qui commencent à se sentir plus indépendantes, qui ont pour la première fois savent qu’elles peuvent avoir un rôle importante au niveau du travail (oh meilleur, un rôle que la société faisait sembler importante, mais que les hommes, en fait, minoraient. Mais les femmes rêvent de la gloire pour la première fois, même si elles sont toujours subordonnées.
Rose est une des filles provinciales qui rêve d’aller à vivre à la grande ville et de faire une vie différente a là des autres, et à la que son père veut pour elle (ce qui fait d’elle une femme courageuse bien sûr!).
C’est vraiment une partie de la réalité sociale du temps. C’est clair qu’il s’agit d’un sujet controversé qui alimente le débat interminable sur la discrimination des femmes dans la société patriarcal ou on vit encore. Mais je crois que le but du film n’était pas ce de glorifier cette société-là! En fait, je crois que, puisqu’il s’agit d’une comédie, on se serve des éléments de la société e des coutumes de l’époque comme instrument principal pour provoquer du rire dans le publique. Généralement on fait ça juste pour entretenir le publique, pas nécessairement pour déclarer quelque chose. Cela n’est pas nécessairement juste, mais c’est ce qui serve au fin de créer de l’humour.
Je crois plutôt que ce film a était critiqué parce qu’il n y a pas d’enseignement à la fin. Donc il perde sa chance de se distancier des sujets délicats, ou mieux, de suggérer que celle réalité-là était plutôt mauvaise : il n’y a aucune dénonciation du caractère équivoqué de la misogynie qui, même si elle était acceptée dans les années 50, encore persiste dans notre société.
Toutefois, l’absence d’une leçon c’est quelque chose que j’ai remarqué dans d’autres Romcom et donc je crois que l’erreur a était le choix d’un sujet controversé et la façon même avec laquelle il a été développé.
On se rit des différences entre femmes et hommes qu’il y avait dans la vie quotidienne, des stéréotypes des femmes (débiles mais jolies) qu’il y a encore, mais dont on ne parle pas. C’est pour ça qu’on les trouve amusants. Le film se base sur la relation entre homme et femme, c’est-à-dire, à la condition de pouvoir des hommes et la subordination des femmes. Et même si le film à la fin nous présente Rose comme une héroïne (car elle devient populaire, gagne la compétition et même conteste au père de Luis !!) elle ne réalise pas SON rêve, mais le rêve que un homme lui a inculqué ! Pendant qu’elle voulait seulement le marier. Voilà donc de la subordination implicite. Elle a triomphé… mais toujours grâce à un homme.
On pourrait continuer à l’infini avec les interprétations du film. Mais je crois que c’est essentiel dénoncer les problèmes qui se passent encore aujourd’hui.
C’est important de ne pas faire l’erreur de négliger ce problème qui encore existe, même si on nous dit qu’on a déjà atteint l’égalité des genres.
Le problème principal est qu’il paraitre que tout la majorité d’hommes et de femmes accepte cette fausse vérité. J’en parlais avec quelqu’un et on m’a dit que oui, la situation pour les femmes n’est pas encore égale à celle des hommes, toutefois, les chose pour les femmes sont en train de améliorer, et donc il ne faut pas faire des histoires. (…)
Cette affirmation est l’évidence que l’idée selon laquelle les femmes sont subordonnées est encore dans la mentalité des hommes, et est acceptée inconsciemment par beaucoup des femmes. Les choses sont en train d’améliorer, on ne peut pas demander plus !! C’est un tel privilège d’être employées moins que les hommes et d’être payées 30% moins.
J’ai l’impression que la discrimination contre les femmes est plus acceptée et considérée moins grave que autres types de discriminations (raciales, religieuses, physiques) . En fait, même si il y a encore des épisodes du racisme (malheureusement), on peut dire que au moins au niveau de la morale commune, on condamne le racisme : on ne blague pas sur le racisme. Il n’y aurait jamais un film raciste qui est une comédie. Mais ça passe avec les femmes. On en blague même entre amis, collègues, en famille. C’est bien de faire de l‘ ironie par fois, mais il ne faut pas oublier la réalité cachée au derrière des blagues.
Mais ce n’est pas une surprise que ça se passe dans notre vie quotidienne, si on reçoit un mouvais exemple des gens les plus influents:
- Selon un analyse du Washington Post, meme dans la Maison Blance, le salaire des femmes est presque $78,400, tandis que le salaire moyen des hommes es de $88,600. Il y a donc une différence de 13%.
- En Angleterre, le journal The Guardian a dit que, même si la situation est une de las plus paritaires du monde entier, les femmes contribuent à l’économie du Royaume Unit avec 2 à 5 heures par jour de travail non rémunéré.
- Et la disparité ne s’annule pas dans le monde digital! 70 % du personnel de Twitter est formé par des hommes, et la différence est encore plus grande dans les travails de la technologie dont le rapport homme-femme est 9:1. Et encore, AU niveau managérial de Twitter il y a 79% des hommes et juste 21% des femmes.
- Quand on voit des femmes qui conduisent le bus on se surprend encore. On n’en pense pas mais il y a, en fait, des industries ou la présence majoritaire des hommes est évidente. On pense à l’industrie cinématique, par exemple, où pendant les derniers 20 années, il y a avait plus que ¾ des réalisateur hommes et seulement 22% des femmes y travaillaient. Si on voit les professions, il y a plus seulement 13% d’éditrices 10% de rédactrices et juste 5% de réalisatrices…… mais clairement, il y a plein d’actrices!